Tous les animaux, humains comme rongeurs, présentent des activités biologiques périodiques et prévisibles. Une altération de ces rythmes, ou désynchronisation circadienne, est maintenant identifiée comme une condition à caractère pathogène, mais dont les mécanismes physiopathologiques restent mal connus. Des chercheurs révèlent que trois mois consécutifs de perturbations des cycles jour-nuit suffisent pour induire un vieillissement cellulaire prématuré et un état prédiabétique chez un rongeur diurne.
source : CNRS